
Visite de l’exposition Maximilien Luce au musée de Montmartre


Visite de l’exposition Maximilien Luce au musée de Montmartre
Mercredi 11 juin à 14h30 – rdv sur place à 14h15
Accès : Depuis Marly/Louveciennes/Versailles Rive Droite
Ligne L jusqu’à Gare Saint Lazare puis métro Ligne 12 Lamarck-Caulaincourt
A Paris : Ligne 2 Anvers (puis funiculaire de Montmartre) ou Bus 40 Arrêt Saules-Cortot ou Montcenis-Cortot
Tarif : 27,00 euros Pour les non-adhérents, inscription en liste d’attente : 32,00 euros,
Activité gérée par Sophie Lardenois (06 26 24 72 94)
Visite limitée à 20 personnes – date limite d’inscription : vendredi 30 mai 2025
Pionnier du néo-impressionnisme, pilier des milieux anarchistes et libertaires, Maximilien Luce (1858-1941) a marqué son époque par un engagement artistique et politique profond. Peintre des paysages urbains et ruraux et de la condition humaine, il a su capturer les transformations sociales et industrielles de son temps avec une sensibilité unique.
Première rétrospective parisienne depuis 1983 dédiée à ce peintre majeur du néo-impressionnisme, l’exposition se tient à quelques pas des lieux où Luce a résidé de 1887 à 1900, rue Cortot. Ancré dans l’histoire montmartroise et dans les contradictions de son époque, le travail du peintre est mis en lumière dans cette exposition qui vise à réaffirmer son importance et fait découvrir son oeuvre souvent méconnu au grand public.
Pour l’exposition « Maximilien Luce, l’instinct du paysage » le musée de Montmartre choisit d’arborer son oeuvre sous le prisme du paysage et emmène le visiteur dans un parcours rétrospectif entre les deux pôles essentiels de sa vie, Paris et Rolleboise. Il est invité à suivre les pérégrinations de l’artiste au départ de Montmartre, dont il fut l’habitant de 1887 à 1900, dans l’effervescence des rues parisiennes et au fil de ses voyages de Saint-Tropez au Pays-Noir de Charleroi en passant par les Pays-Bas, la Normandie ou encore Londres.
Les œuvres rassemblés auprès d’institutions françaises et étrangères (musée d’Orsay, musée de l’Hôtel-Dieu de Mantes-la-Jolie, musée Lambinet à Versailles, musée des Beaux-Arts de Charleroi, musée d’Ixelles, Association des Amis du Petit Palais de Genève, etc.), de galeries et de collections privées révèlent le talent de paysagiste de Luce qui fut un grand admirateur de ses aînés Nicolas Poussin et Jean-Baptiste Camille Corot et dont l’amour de la nature culmine dans les campagnes de Rolleboise avant sa mort en 1941.
Le musée de Montmartre qu’il a si souvent représenté dans ces paysages est heureux de lui rendre hommage aujourd’hui, 125 ans après son départ de ce lieu emblématique.
